Le projet IAG4UPEC, interdisciplinaire (droit, gestion, informatique, sociologie) et transformant (direction générale des services, DRH, DSI, DEVE et DT) étudie les aspects techniques, juridiques et sociologiques de la mise en place d’une plateforme d’intelligence artificielle génératives souveraine à destination des personnels et étudiants de l’université Paris-Est Créteil.
Financé par le PIA Excellences ERASME de l’université pour la période 2024-2028, ce programme a bénéficié d’une aide de l’État gérée par l’Agence Nationale de la Recherche au titre du programme d’Investissements d’avenir portant la référence «ANR-21-EXES-0009 ». Il intègre des enseignant.es-chercheur.es, des personnels administratifs et des étudiants.
Le projet est composé de 3 grandes parties :
- Technique : mise en place d‘une plateforme technique ainsi que structuration de données pertinentes
- Recherche : étude de l’évolution juridique et sociale des métiers de l’université
- Appropriation : formation et mise en place de processus commun
Ces 3 parties sont traversées par les questions primordiales de sécurité (aussi bien données que réponses) et de soutenabilité écologique (minimisation du coût environnemental).
Le projet réunit 10 personnels de l’administration, 2 étudiants, 2 représentants syndicaux, 1 représentante extérieure à l’établissement et regroupe 8 chercheuses et chercheurs, soutenus par l’Institut de Recherche en Gestion (IRG), le laboratoire Marché, Institutions, Libertés (MIL) ainsi que le laboratoire d’Algorithmique, Complexité et Logique (LACL).
Il est coordonné par Pierre Valarcher, professeur des universités en informatique et la partie recherche est coordonnée par Claire Marzo maitresse de conférence (HDR) en droit public.
Son objectif est de questionner la faisabilité (technique et humaine) de la mise en place de ces outils et d’accompagner la transformation des métiers de l’université le cas échéant.
Les lecteurs attendus sont toutes les personnes qui sont concernées et intéressées par le déploiement d’une telle plateforme ainsi que par l’étude scientifique des effets de ces outils sur les métiers de l’université ; pouvoirs publics, chercheurs, DRH et plus généralement le grand public.
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